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Nous avons passé 4 jours à Pucòn, au bord du lac Villarrica.
Et au bout du 3éme jour, grand soleil!
Nous en avons donc profité pour nous rendre au parque Huerquehue.
Nous avons pris un minibus de la ville qui nous a dépose 35 km plus loin, à l'entrée du parc. De là, une marche de 5 heures nous emmène jusqu'aux lacs Chico, Toro et Verde.
Avant de commencer notre ascension, nous croisons quelques animaux et une maison plutôt étonnante.
Puis nous entrons dans une forêt où poussent bambous, alerces et araucarias... Avec la pluie des jours (et des semaines!) précédentes, ça gadouille sec!
Nous croisons également des cascades et apprécions enfin la vue dégagée sur le volcan Villarrica!
Quasiment au sommet de la montagne, nous rencontrons la neige. Encore 10 minutes d'efforts et nous voilà arrivés au premier lac: el lago Chico.
Puis le suivant, à seulement 100 mètres:
Enfin, une pause pique-nique à la laguna Verde avant de redescendre prendre le bus.
Sur le chemin du retour, nous rencontrons plusieurs pics-verts; ici, ils sont rouges et noirs.
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Cette journée à Lican Ray nous a fait du bien... Et pour cause, il n'a pas plu et nous avons même eu droit à quelques rayons de soleil pendant notre pique-nique.
Puis, petite balade sur la péninsule Ziwilwe:
Enfin, nous sommes rentrés à Villarrica pour profiter de la ville sans la pluie: changement radical d'ambiance.
Les gens sortent en nombre et les rues sont animées. Bref, la vie reprends son cours.
Malheureusement, le ciel est toujours couvert et nous n'arrivons toujours pas a voir les volcans, dont le Volcan Villarrica toujours en activité.
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Depuis Puerto Varas, sur les bords du lac Llanquihue, nous visitons les environs.
C'est une ville où l'influence allemande est très marquée, surtout d'un point de vue architectural. En effet, au 19ème siècle, cette région a connue une forte immigration de familles allemandes. Et il n'est pas rare de croiser des enseignes à consonnances allemandes.
Dans le parc nacional Vicente Perez Rosales, nous allons jusqu'à Petrohué, au bord du lac Todos los Santos.
Avec le ciel couvert, nous ne pouvons pas vraiment voir la couleur émeraude du lac, ni le volcan Osorno.
Puis, nous rejoignons à pied los saltos del rio Petrohué, 6 km en contrebas. Sur le chemin, nous pouvons accéder aux bords de la rivière,
jusqu'aux cascades.
Nous retournons à Puerto Varas en fin de journée, complètement trempés!
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L'île de Chiloé se situe au sud de Puerto Montt (notre première étape chilienne).
C'est un des endroits les plus pluvieux du Chili avec seulement 60 jours de soleil par an... Un petit air de Bretagne!
Heureusement, quelques éclaircies nous permettent de visiter l'île plus sereinement et de prendre des photos.
Ici, l'ambiance est plutôt tranquille et nous découvrons différentes villes parsemées de petites maisons en bois et de ports de pêche ( beaucoup de saumons, coquillages et algues).
Ici, à Ancud, au nord de l'île:
Puis, une deuxième halte nous emmène plus au sud, à Castro, capitale de l'île.
Ici, nous découvrons les "palafitos", anciennes maisons de pêcheurs sur pilotis.
A Dalcahue, entourés par une meute de chiens, nous photographions l'église en bois d'alerce et tôle ondulée.
Notre troisième et dernière nuit sur l'île se passa à Chacao où nous profitons d'une accalmie pour nous promener dans les environs.
Un reportage de Jonathan et Charlotte pour Thalassa.
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Nous voilà au Chili depuis le 7 Août où le passage à la frontière a duré un bon moment.
En effet, arrivés à la douane (avec le bus Bariloche - Puerto Montt), les policiers sortent les bagages des soutes et inspectent le bus sous toutes les coutures.
Il est interdit de faire rentrer tout produit frais ( viandes, fruits, légumes, laitages...) et graines au Chili. Nous avions donc pris nos pris nos précautions en finissant nos denrées (avec un gros repas la veille et un bon petit déjeuner).
Ensuite, un chien renifle les bagages de la soute ainsi que les bagages à mains des passagers. Il retient un sac: celui de Jonathan! ...ainsi que nos deux petits sacs à dos: Fouille des sacs. Rien à déclarer.
Après, nous faisons tamponner nos passeports mais la douanière a un doute sur l'identité de Jonathan. Sa photo (datant de 2007) est bien différente de maintenant (surtout avec sa grosse barbe). Elle lui demande d'abord de reproduire la signature du passeport, 2 fois! Puis de sourire comme sur la photo. Elle n'est pas très convaincue mais finalement tamponne son passeport. C'est bon!... Petite montée d'adrenaline!
Les sacs commençent à être remis en soute lorsqu'une douanière voudrait controler le mien. Et pendant 10 minutes, elle cherche en vain pendant que tous les passagers me dévisagent depuis l'intérieur du bus!
Bref, tout est en ordre et nous entrons au Chili, depuis une région magnifique et très agricole: la région des lacs.
Malheureusement, depuis notre arrivée, il pleut tous les jours, avec quelques accalmies de 15 à 30 minutes... De temps en temps!!
A suivre les photos, de notre nouvel appareil!
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